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Jefferson Hack
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yep. you too? i loved it, gareth pugh was (as always) so nice. and jefferson kept picking on the translator, it was quite fun to watch (but poor man!).
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dejeunesgensmodernes.com
Jefferson Hack | Interview by De Jeunes Gens Modernes
Difficile pour les amoureux de mode d’ignorer qui est Jefferson Hack, le co-fondateur de Dazed and Confused, Another Magazine et Another Man est également de plus en plus impliqué dans les supports digitaux avec Dazed Digital et Nowness. Celui-ci a profité de sa présence à la fashion week de Paris pour réaliser une interview de Gareth Pugh, ouverte au public à l’intérieur de l’Apple Store de Paris (Disponible en podcast ici). Nous sommes donc allés à sa rencontre, pour avoir son avis sur les passerelles entre la mode et les nouvelles technologies.
Quel rapport avez-vous à internet dans votre vie de tous les jours ?
Jefferson: J’utilise internet principalement pour me tenir au courant, ou pour faire des recherches. Je n’ai pas mon propre blog, de twitter ou de facebook mais je les utilise tous comme vecteur de communication dans mon travail éditorial.
Justement, vous avez vécu l’avant et maintenant, la quasi dépendance à internet…Qu’est-ce que le web à apporté à votre travail ?
Jefferson : Il est vrai qu’internet a facilité la globalisation de mon travail, je touche beaucoup plus de gens et dans le monde entier. Internet m’a donné aussi beaucoup plus de liberté dans ma manière d’aborder le travail, je peux par exemple voyager beaucoup plus librement tout en continuant de nourrir le magazine et le site site web, sans avoir à être fixé à un endroit. Je suis beaucoup plus libre. Internet à également eu une influence sur le contenu des différents supports, papier ou digital. Le web de par son immédiateté se prête plus facilement aux actualités, à l’inverse, la presse papier peut permettre des sujet moins éphémères et un peu plus construits.
Pensez-vous qu’il y ai une forme de complémentarité entre les magazines, boutiques et défilés et leur version en ligne ou qu’à terme le digital risque de tuer ces formats plus traditionnels ?
Jefferson : Je pense que le schéma qui se met en place n’est pas le remplacement d’une chose ou d’une autre, mais plutôt l’élargissement des possibilités. Tom Ford a une approche plus traditionnelle, Burberry diffuse en direct leurs défilés, Gareth Pugh a réalisé un petit film a la place d’un défilé classique. Il n’y à pas une approche meilleure ou plus moderne que l’autre, elles doivent simplement correspondre à la marque. Si le directeur artistique a une vision de la manière dont il souhaite communiquer, c’est une bonne chose qu’il puisse se servir de tous les moyens technologiques (ou non) pour rendre le message plus fort. Je pense donc que ce que nous voyons est une approche pluridisciplinaire de la mode, qui permet d’utiliser plus d’outils et d’amener une vraie valeur ajoutée. Le digital ne remplace rien, il élargit juste le champ des possibles…
Vous faites figure de pionniers dans ce domaine avec dazed digital et nowness, le choix de se diriger vers ce type de support était il motivé par l’envie de toucher plus de gens et plus rapidement ou d’aborder votre travail d’une manière différente ?
Jefferson : Je ne pense pas qu’il s’agisse d’apporter quelque chose de différent. Les magazines doivent parler à leurs lectorats, le mode de vie de ces gens évolue, leurs habitudes changent. Je souhaite que les histoires que je construis, qu’elles soient sous forme de textes ou d’images puissent arriver à nos lecteurs, où qu’ils soient, et quand ils le souhaitent. Par conséquent, je leur offre différentes possibilités: le magazine, l’ipad, le web etc… Afin qu’ils puissent recevoir ces histoires quelles que soit le support ou le format. Je ne dicte pas la façon dont ils devraient faire, je leur donne simplement plus de facilité pour le faire.
Impossible de conclure sans votre sentiment sur cette fashion week parisienne…
Jefferson : Et bien avec Lanvin, Gareth Pugh et Haider Ackermann, il y a eu de très beaux moments, qui ont rendu cette semaine à Paris très intéressante. D’une manière générale, je pense que Paris est vraiment la capitale de la mode. Ce que j’aime ici, c’est le mélange du nouveau et de l’ancien. Ici, je suis toujours excité par cette combinaison du moderne et de l’histoire.
Interview: Guillaume Steinmetz
Jefferson Hack | Interview by De Jeunes Gens Modernes
Difficile pour les amoureux de mode d’ignorer qui est Jefferson Hack, le co-fondateur de Dazed and Confused, Another Magazine et Another Man est également de plus en plus impliqué dans les supports digitaux avec Dazed Digital et Nowness. Celui-ci a profité de sa présence à la fashion week de Paris pour réaliser une interview de Gareth Pugh, ouverte au public à l’intérieur de l’Apple Store de Paris (Disponible en podcast ici). Nous sommes donc allés à sa rencontre, pour avoir son avis sur les passerelles entre la mode et les nouvelles technologies.
Quel rapport avez-vous à internet dans votre vie de tous les jours ?
Jefferson: J’utilise internet principalement pour me tenir au courant, ou pour faire des recherches. Je n’ai pas mon propre blog, de twitter ou de facebook mais je les utilise tous comme vecteur de communication dans mon travail éditorial.
Justement, vous avez vécu l’avant et maintenant, la quasi dépendance à internet…Qu’est-ce que le web à apporté à votre travail ?
Jefferson : Il est vrai qu’internet a facilité la globalisation de mon travail, je touche beaucoup plus de gens et dans le monde entier. Internet m’a donné aussi beaucoup plus de liberté dans ma manière d’aborder le travail, je peux par exemple voyager beaucoup plus librement tout en continuant de nourrir le magazine et le site site web, sans avoir à être fixé à un endroit. Je suis beaucoup plus libre. Internet à également eu une influence sur le contenu des différents supports, papier ou digital. Le web de par son immédiateté se prête plus facilement aux actualités, à l’inverse, la presse papier peut permettre des sujet moins éphémères et un peu plus construits.
Pensez-vous qu’il y ai une forme de complémentarité entre les magazines, boutiques et défilés et leur version en ligne ou qu’à terme le digital risque de tuer ces formats plus traditionnels ?
Jefferson : Je pense que le schéma qui se met en place n’est pas le remplacement d’une chose ou d’une autre, mais plutôt l’élargissement des possibilités. Tom Ford a une approche plus traditionnelle, Burberry diffuse en direct leurs défilés, Gareth Pugh a réalisé un petit film a la place d’un défilé classique. Il n’y à pas une approche meilleure ou plus moderne que l’autre, elles doivent simplement correspondre à la marque. Si le directeur artistique a une vision de la manière dont il souhaite communiquer, c’est une bonne chose qu’il puisse se servir de tous les moyens technologiques (ou non) pour rendre le message plus fort. Je pense donc que ce que nous voyons est une approche pluridisciplinaire de la mode, qui permet d’utiliser plus d’outils et d’amener une vraie valeur ajoutée. Le digital ne remplace rien, il élargit juste le champ des possibles…
Vous faites figure de pionniers dans ce domaine avec dazed digital et nowness, le choix de se diriger vers ce type de support était il motivé par l’envie de toucher plus de gens et plus rapidement ou d’aborder votre travail d’une manière différente ?
Jefferson : Je ne pense pas qu’il s’agisse d’apporter quelque chose de différent. Les magazines doivent parler à leurs lectorats, le mode de vie de ces gens évolue, leurs habitudes changent. Je souhaite que les histoires que je construis, qu’elles soient sous forme de textes ou d’images puissent arriver à nos lecteurs, où qu’ils soient, et quand ils le souhaitent. Par conséquent, je leur offre différentes possibilités: le magazine, l’ipad, le web etc… Afin qu’ils puissent recevoir ces histoires quelles que soit le support ou le format. Je ne dicte pas la façon dont ils devraient faire, je leur donne simplement plus de facilité pour le faire.
Impossible de conclure sans votre sentiment sur cette fashion week parisienne…
Jefferson : Et bien avec Lanvin, Gareth Pugh et Haider Ackermann, il y a eu de très beaux moments, qui ont rendu cette semaine à Paris très intéressante. D’une manière générale, je pense que Paris est vraiment la capitale de la mode. Ce que j’aime ici, c’est le mélange du nouveau et de l’ancien. Ici, je suis toujours excité par cette combinaison du moderne et de l’histoire.
Interview: Guillaume Steinmetz
karen sofie
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Oh my, I'm completely breathless, Jeff is suuuch a Beautiful man!!!
Label Basher
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^ Have they got married yet? I want to see their wedding outfits.
Label Basher
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^ to Anouck Lepère. They have been engaged since 2006.
Have they borken up???
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